D'après "Lettres à Lou" de Guillaume Apollinaire et les "Lettres de Poilus"
Montage de texte et mise en scène Marie-Pierre Hornn
Jeu Hélori Philippot - Claude Kagan
Musique André Caplet
Transposition violon alto : Véronique Mafart
Scénographie Philippe Ragot
Lumière Guillaume Metayer
Avec le soutien de la Ville de Saint-Sébastien sur Loire L’aide à la création de la SPEDIDAM Et l’aide à la création de la Région Pays de Loire
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Label Centenaire Guerre 14-18
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Il fait nuit, Guillaume Apollinaire est debout dans la tranchée, en avant scène, son compagnon commence à parler de ce qu’il va écrire : nous sommes à noël 1914, il se laisse emporter par sa passion. Au lointain apparaît la silhouette de sa bien aimée et il lui dit un poème qu’il signe de son nom Guillaume Apollinaire. … Et ainsi de suite dans la lueur du jour qui monte, les voix se répondent et peu à peu envahissent le plateau, accompagnées par le violon qui bruite le son de l’artillerie ou joue les thèmes mélodiques de la messe pour trois voix d’André Caplet. Sur le plateau, les deux comédiens et l’altiste, fragile silhouette qui dessine dans la nuit la présence des femmes évoquées par les poilus. Tous, par leurs présences redonnent chair et voix à tour de rôles aux poilus et au poète ainsi qu’à leurs compagnes, à travers leurs correspondances. |
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